Jeudi 5, messe 155 avant de lui, en toute ville et localité où lui-même allait se rendre. Il leur dit : « Lamoisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson. Allez ! Voici que je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups. Ne portez ni bourse, ni sac, ni sandales, et ne saluez personne en chemin. Mais dans toute maison où vous entrerez, dites d’abord : “Paix à cette maison.” S’il y a là un ami de la paix, votre paix ira reposer sur lui ; sinon, elle reviendra sur vous. Restez dans cette maison, mangeant et buvant ce que l’on vous sert ; car l’ouvrier mérite son salaire. Ne passez pas de maison en maison. Dans toute ville où vous entrerez et où vous serez accueillis, mangez ce qui vous est présenté. Guérissez lesmalades qui s’y trouvent et dites-leur : “Le règne de Dieu s’est approché de vous.” Mais dans toute ville où vous entrerez et où vous ne serez pas accueillis, allez sur les places et dites : “Même la poussière de votre ville, collée à nos pieds, nous l’enlevons pour vous la laisser. Toutefois, sachez-le : le règne de Dieu s’est approché.” Je vous le déclare : au dernier jour, Sodome sera mieux traitée que cette ville. » — Acclamons la Parole de Dieu. Prière sur les offrandes. Nous proclamons tesmerveilles, accomplies en la bienheureuse vierge, sainte Faustine Kowalska, Seigneur, Dieu de majesté, et nous te supplions humblement : toi qui appréciais les mérites de sa vie, accepte l’hommage de notre service. Par le Christ, notre Seigneur. La vierge prévoyante a choisi la meilleure part, celle qui ne lui sera pas enlevée. Prière après la communion. Déjà réconfortés par le pain du ciel, nous implorons humblement ta bonté, Seigneur : en ce jour où nous avons la joie de faire mémoire de sainte Faustine Kowalska, accorde-nous le pardon de nos fautes, donne à nos corps la santé, à nos âmes, ta grâce et la gloire sans fin. Par le Christ, notre Seigneur.
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