Vendredi 29, messe 77 Nouveau Testament, Gabriel est l’ange annonciateur de la naissance de Jean Baptiste et de celle de Jésus, tandis que Michel apparaît comme le chef des armées du ciel, vainqueur de Satan dans le grand combat de la fin des temps (1re lecture, Ap). Mais, du paradis de la Genèse à celui de l’Apocalypse, les anges remplissent de leur présence invisible tout le déroulement de l’histoire du salut. Ils sont là, « anges du Seigneur » (antienne d’ouverture), pour révéler ses desseins et porter ses ordres, mais surtout ils chantent sa gloire (a. de la communion), foule immense d’adorateurs que Daniel ou Jean entrevoient autour du trône du Dieu Vivant : « Des milliers de milliers le servaient, des myriades de myriades se tenaient devant lui. » (1re lecture, Dn, cf. prière d’ouverture). La liturgie de la terre nous associe à celle que les anges célèbrent dans le ciel. Non seulement « nous joignons nos voix à leur hymne de louange pour chanter et proclamer » que le Seigneur est saint, mais en offrant le sacrifice nous demandons à Dieu que nos offrandes soient portées par son « saint ange en présence de sa gloire, sur son autel céleste » (p. eucharistique I, cf. p. sur les offrandes). F Anges du Seigneur, bénissez le Seigneur, invincibles porteurs de ses ordres, attentifs au son de sa parole ! Gloire à Dieu page 201 Prière page précédente Lecture du livre du prophète Daniel 7, 9-10.13-14 La nuit, au cours d’une vision, moi, Daniel, je regardais : des trônes furent disposés, et un Vieillard prit place ; son habit était blanc comme la neige, et les cheveux de sa tête, comme de la laine immaculée ; son trône était
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