9 Jours avec Charles de Foucauld

9 jours avec saint Charles de Foucauld MAGNIFICAT

Présentation « Nous choisissons de vivre Nazareth à cause de Jésus et de l’Évangile. » Saint Charles de Foucauld Alors que la canonisation de Charles de Foucauld étend le culte de cette figure de sainteté à l’ensemble de l’Égl ise universel le, nous vous proposons de Prier 9 jours avec Charles de Foucauld, de vous mettre à son école en contemplant à sa suite le mystère de la vie du Christ en confiant votre prière à son intercession. Se nourrir de l’Écriture « Vivre avec Jésus » à la suite de saint Charles implique de se nourrir de la parole du Christ, pour vivre non seulement de son enseignement mais encore du récit de sa vie, de son intime présence : « L’ami de l’époux, qui est là, et l’écoute, jubile de joie en entendant la voix de l’époux. » Ne dois-je pas dire ces paroles, mon Dieu, mon Seigneur Jésus, chaque fois que j’entends quelque texte inspiré, psaume, évangile surtout, Pater, Ave, enfin tout texte faisant partie des Livres inspirés ! C’est bien la voix de l’Esprit Saint qui parle, chaque fois que je les lis, que je les entends. Cette neuvaine propose de suivre la voie tracée par Charles de Foucauld qui passera par ses méditations sur l’Écriture pour faire germer en notre cœur la spiritualité de Nazareth. À l’école de saint Charles de Foucauld Saint Charles de Foucauld a perçu l’appel à suivre le Christ dans l’intimité de sa vie terrestre menée il y a deux mille ans. Son message spirituel peut tenir en quelques mots : vivre avec Jésus, comme Jésus, pour Jésus, en communion avec lui, avec le Père, et avec les hommes. Pour reprendre les mots de Mgr Boulanger, évêque émérite de Bayeux-Lisieux et membre des fraternités Charles de Foucauld : L’originalité de Nazareth est d’être une spiritualité de la relation dans la communion ; en un mot, une présence à Dieu et aux hommes. Jésus de Nazareth est un être de communion… Au cœur de la communion, il y a cette dimension de fils et de frère. Le fils accepte de dépendre des autres. Par le fait qu’il n’est pas seul à dépendre de la même source, il reconnaît des frères1. Puissions-nous recevoir la grâce de nous mettre pendant ces neuf jours à l’école de la charité à la suite de saint Charles de Foucauld : Aimons les hommes en vue de Dieu, autant qu’il le veut, puisant dans cette source de la volonté divine une force, une stabilité, un dévouement, une ardeur que n’a pas l’amour purement humain, et qui sont dans les seuls cœurs qui, laissant Jésus vivre en eux, aiment par Jésus et non par eux-mêmes. 1. Mgr Jean-Claude Boulanger, Le chemin de Nazareth, une spiritualité du quotidien, 2019, Paris/Perpignan, Éditions Artège, Groupe Elidia. 3

PREMIER JOUR Vivre la fraternité  Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Hymne Quand tu viendras, Seigneur, dans ta gloire Que tu rassembleras les nations, Tu nous diras : Venez les bénis de mon Père En héritage, recevez le Royaume. Car j’avais faim, Vous m’avez nourri. J’étais étranger, Vous m’avez accueilli. Ce que vous avez fait à mes frères, (bis) C’est à moi que vous l’avez fait. (bis) Je n’avais rien, Vous m’avez habillé. J’étais prisonnier, Vous m’avez visité. 5

Charles de Foucauld, récapitulant les enseignements de Jésus sur la charité, note : « Aimez votre prochain comme vous-même. Vous êtes tous frères, vous avez un seul Père. » La fraternité est une communion que Dieu veut instaurer avec lui et entre tous les hommes. « Je veux habituer tous les habitants à me regarder comme leur frère, le frère universel » écrit encore Charles. Cette fraternité prend sa source dans l’imitation du Fils incarné qui s’est fait le frère de tous les hommes. Voici que l’ange du Seigneur lui apparut en songe et lui dit : « Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre chez toi Marie, ton épouse, puisque l’enfant qui est engendré en elle vient de l’Esprit Saint ; elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus (c’est-à-dire : Le-Seigneursauve), car c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. » Tout cela est arrivé pour que soit accomplie la parole du Seigneur prononcée par le prophète : Voici que la Vierge concevra, et elle enfantera un fils ; on lui donnera le nom d’Emmanuel, qui se traduit : « Dieu-avec-nous. » Quand Joseph se réveilla, il fit ce que l’ange du Seigneur lui avait prescrit : il prit chez lui son épouse, mais il ne s’unit pas à elle, jusqu’à ce qu’elle enfante un fils, auquel il donna le nom de Jésus. Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu (1, 20-25) Méditons l’Évangile avec Charles de Foucauld Profitons des leçons que Dieu nous donne dans la crèche et en prenant le nomde Jésus…Car si ses actes sont tous des grâces et des bienfaits, ils sont aussi des enseignements… Par le nom de Jésus il nous crie : amour de Dieu, de Dieu qui daigne nous aimer : « Aimez Dieu, puisque Dieu vous a aimés le premier » et il nous crie amour des hommes en vue de Dieu, pour suivre l’exemple de Dieu, pour aimer ce qu’il aime : « Si Dieu nous a aimés de la sorte, nous aussi nous devons nous entr’aimer. » Par le nom de Jésus qui nous laisse entrevoir que ce divin Sauveur versera tout son sang pour donner le ciel aux hommes, il nous crie : zèle des âmes et sacrifice jusqu’au martyre. Il nous crie que notre Bien-Aimé est venu sur la terre « pour servir [les âmes en travaillant à leur salut] et donner sa vie en rédemption pour beaucoup » et nous appelle à l’imiter en consacrant notre vie à la même œuvre et en offrant pour elle notre sang. Quel baume vous avez mis jusqu’à la fin des siècles au cœur des pauvres, des petits, des dédaignés du monde, en leur montrant dès votre naissance qu’ils sont vos privilégiés, vos favoris, les premiers appelés : les toujours appelés autour de vous qui avez voulu être un des leurs et être dès votre berceau et toute votre vie entouré par eux. Amen. Charles de Foucauld 7 6

Intercessions Prions pour qu’à l’exemplede saintCharles deFoucauld, nous soyons trouvés doux et humbles de cœur au service de nos frères.  Seigneur Jésus, apprends-nous l’amour fraternel. Tu es né à l’écart des ors et des fastes de ce monde, – accorde à ton Église de se mettre avec simplicité au service de l’Évangile :  Tu nous as donnés comme frères et sœurs les plus humbles et les plus démunis, – mets en nous un cœur nouveau ; que nous soyons les instruments de ta présence à leurs côtés :  Tu es venu annoncer la Bonne Nouvelle aux pauvres, – donne-nous de veiller à ce qu’ils puissent trouver une place dans nos sociétés :  Tu reviendras dans la gloire pour juger les vivants et les morts, – puisses-tu nous trouver pleins d’attention et de tendresse pour les plus petits de tes frères :  Intentions personnelles Je vous salue Marie… Notre Père… Avec les mots de saint Charles de Foucauld, achevons notre prière: Mon Dieu, venez en moi ; je vous aime, je vous adore, je me donne à vous, pour être et faire tout ce qui vous plaira. Que ce ne soit plus moi qui vive, mais vous qui viviez en moi. Que je sois et fasse à tout instant ce qui vous plaît le plus. Qu’il soit de même de tous vos enfants. Amen ! Les Petits Frères seront « humbles et doux » avec tous les hommes comme le Cœur de Jésus ; même avec les plus arrogants, les plus pécheurs, les plus injustes, se souvenant qu’ils doivent « ne pas résister au mal », mais « vaincre le mal par le bien », en répandant la bonne odeur du Cœur de Jésus… En face de toute âme, ils auront sans cesse devant les yeux leur mission envers chacune d’elles ; cette mission, c’est de la sauver, en tout homme, bon ou mauvais, ami ou ennemi, bienfaiteur ou bourreau. Ils se feront « tout à tous, pour les sauver tous »; ils haïront lemal, mais cette haine ne les empêchera jamais d’aimer les hommes : les portant tous dans leur cœur, même les plus pervers, comme le Cœur de Jésus. Ils seront les amis universels pour être les sauveurs universels ; disciples, imitateurs et membres de Jésus, leur vie a le même but que la sienne : sauver les hommes en vue de Dieu, et doit, comme la sienne, se résumer et s’exprimer par le mot : Jésus, Sauveur. Ils sauvent par l’offrande du Saint Sacrifice et la présence de la Sainte Eucharistie, ils sauvent par la pratique des vertus, ils sauvent par la pénitence et la prière, ils sauvent par la charité. (Règlement des Petits Frères) FRATERNI TÉ UNI VERSELLE 9 8

exaucée. Charles croit : « Aussitôt que je crus qu’il y avait un Dieu, je compris que je ne pouvais faire autrement que de ne vivre que pour lui. » Entrée à la trappe de Notre-Dame-des-Neiges en 1890, il la quitte définitivement en 1900, sans avoir prononcé de vœux solennels, et en ayant entrecoupé la vie monastique de trois années comme jardinier auprès des Clarisses à Nazareth. Un pèlerinage en Terre Sainte lui a en effet révélé sa vocation : suivre Jésus dans sa vie cachée, au milieu des hommes. Le « frère universel » Ordonné prêtre à 42 ans, il prend le chemin de l’Algérie : d’abord l’oasis de Béni-Abbès, aux portes du Sahara. Il libère des esclaves par leur rachat et écrit : « Je veux habituer tous les habitants à me regarder comme leur frère, le frère universel ». Puis il part pour Tamanrasset, dans le désert du grand Sud, pour rejoindre ceux qui sont « les plus délaissés, les plus abandonnés ». Homme de grande prière, plaçant l’eucharistie au centre de toute son existence, il soigne ses frères Touaregs, traduit l’Évangile dans leur langue et croit à la puissance de la Présence réelle. Trahi par l’un de ceux qu’il avait soignés, il meurt assassiné le 1er décembre 1916. Un peu plus tôt il avait noté : « Demain, dix ans que je dis la sainte messe dans l’ermitage de Tamanrasset ! et pas un seul converti ! Il faut prier, travailler et patienter. » La famille spirituelle deCharles de Foucauld comprend aujourd’hui plusieurs associations de fidèles, des communautés religieuses et des instituts séculiers de laïcs ou de prêtres. Son rayonnement est immense. Jean de Saint-Cheron VIE DE CHARLES DE FOUCAULD Né en 1858 dans une famille pieuse de la vieille noblesse française, Charles est élevé par ses grandsparents. Marqué par son grand-père colonel dans l’armée française, il entre à 18 ans à Saint-Cyr comme élève officier. C’est le début d’une vie dissipée, qui durera plusieurs années. Le chemin du désert Finalement déçu et fatigué par les salons et les jouissances trop faciles, il prend le chemin du désert. Non d’abord pour des raisons spirituelles, mais par attrait pour l’aventure. Il démissionne de l’armée en 1882 et part au Maroc, dans le cadre d’une mission de reconnaissance géographique et de cartographie. Mettant ses pas dans ceux d’un guide juif, Charles de Foucauld – qui s’est mis à étudier les langues et les cultures sémitiques – travaille brillamment et découvre l’altérité. Il s’ouvre à un autre monde. La conversion À l’âge de 28 ans, revenu à Paris profondément marqué par la foi des musulmans qu’il a rencontrés auMaroc, il se sent attiré par le christianisme délaissé depuis l’enfance. Il fait alors la rencontre de chrétiens dont la finesse de pensée l’intrigue. À l’église SaintAugustin, il fréquente l’abbé Huvelin qui restera son directeur spirituel jusqu’à sa mort en 1910. Soudain abandonné à la miséricorde divine, sa prière « Seigneur, si tu existes, fais que je te connaisse », est 59 58

QUELQUES PRIÈRES Notre Père Notre Père « qui êtes aux cieux »… pourquoi choisissezvous cette qualification plutôt qu’une autre, plutôt que « Père juste », « Père saint » ?... C’est sans doute, mon Dieu, pour élever notre âme dès le commencement de la prière bien au-dessus de cette pauvre terre, et la placer dès le début où elle doit toujours être, en cette vie et dans l’autre, au ciel sa patrie… C’est aussi pour nous placer dès les premiers mots de notre prière dans l’espérance et dans la paix. Notre Père est dans les cieux : comment, avec la confiance, n’aurions-nous pas espérance et douce paix ?... C’est aussi pour nous mettre dès le début dans la joie, en pensant que notre Père, notre Dieu, notre Bien-Aimé, celui que nous aimons de tout notre cœur, de toute notre âme, de tout notre esprit et de toutes nos forces, jouit pour l’éternité d’un bonheur infini ? Amen ! Notre Père… La communion Vous n’étiez pas plus près de la Sainte Vierge, pendant les neuf mois qu’elle vous porta dans son sein, que vous ne l’êtes de moi quand vous venez sur ma langue dans la communion ! Vous n’étiez pas plus près de la Sainte Vierge et de saint Joseph dans la grotte de Bethléem, dans la maison de Nazareth, dans la fuite en Égypte, pendant tous les instants de cette divine vie de famille, que vous ne l’êtes de moi en ce moment et si, si souvent dans ce tabernacle ! Sainte Madeleine n’était pas plus près de vous, assise à vos pieds à Béthanie, que je ne le suis au pied de cet autel ! Vous n’étiez pas plus près de vos Apôtres quand vous étiez assis au milieu d’eux, que vous n’êtes près de moi maintenant, mon Dieu ! Que je suis heureux ! Que je suis heureux ! Que je suis heureux ! Aimer Jésus Ô mon Dieu faites-moi vous aimer ! Faites-moi vous regarder sans cesse et vous prier sans cesse, vous qui à tous les instants de votre vie m’avez regardé, avez souffert pour moi, vous que tous les instants de ma vie peuvent consoler, tant vous m’aimez. ÔmaMère, faites-moi vous aimer et aimer Jésus autant que le Cœur de Jésus le veut ! Mère bien-aimée, je remets mon âme entre vos mains. Ainsi soit-il ! En présence du Seigneur Mon Dieu, daignez me donner ce sentiment continuel de votre présence, de votre présence en moi et autour de moi et, en même temps, cet amour craintif qu’on éprouve en présence de ce qu’on aime passionnément, et qui fait qu’on se tient devant la personne aimée, sans pouvoir détacher d’elle les yeux, avec un grand désir et une volonté de faire tout ce qui lui plaît, tout ce qui est bon pour elle, et une grande crainte de faire, dire ou pensez quelque chose qui lui déplaise ou lui fasse du mal. En vous, par vous, et pour vous. Amen. Prière à Notre Dame Notre Dame qui, par ton « oui » a changé la face dumonde, prends près de toi ceux qui veulent dire « oui » pour 61 60

toujours. Tu sais le prix de cemot, fais que nous ne reculions pas devant ce qu’il exige de nous ; apprends-nous à le dire comme toi, dans l’humilité, la simplicité et l’abandon à la volonté du Père. Demande à ton fils, Jésus, que nos « oui » quotidiens servent plus parfaitement la volonté de Dieu pour notre bonheur et celui du monde entier. Amen. Alléluia Louer, c’est exprimer son admiration et, en même temps, son amour, car l’amour est inséparablement uni à une admiration sans réserve. Donc louer Dieu, c’est se fondre à Ses pieds en paroles d’admiration et d’amour, c’est Lui répéter sous toutes les formes qu’Il est infiniment parfait, infiniment aimable, infiniment aimé ; que Sa beauté, notre admiration et notre amour sont sans mesure ; c’est Lui dire sans fin, Lui dire sans pouvoir mettre de terme à une si douce déclaration, qu’Il est beau et que nous L’aimons. Combien la louange fait partie essentielle de l’amour ; combien, par conséquent, elle fait indispensablement partie de nos devoirs envers Dieu : c’est facile à voir… Mais il est une deuxième cause pour laquelle nous devons à Dieu la louange : c’est que, nous permettre de la Lui adresser c’est de Sa part une incomparable faveur : permettre à quelqu’un de nous dire, de nous répéter sous toutes les formes qu’il nous aime, n’est-ce pas la plus grande faveur que nous puissions lui faire ? N’est-ce pas lui dire que son amour nous plaît, nous est agréable, n’est-ce pas lui dire presque que nous l’aimons aussi ?... Dieu nous permet de nous tenir à Ses pieds, murmurant sans fin des paroles d’admiration et d’amour : quelle grâce ! Quelle bonté, quel bonheur !... Crédits bibliographiques Page 7 : Charles de Foucauld, Commentaire de saint Matthieu, Montrouge, Nouvelle Cité, 1995, p. 67. Page 9 : « Règlement des Petits Frères » dans Charles de Foucauld, Œuvres spirituelles, Paris, éditions du Seuil, 1958, p. 455-456. Page 13 : Charles de Foucauld, Commentaire de saint Matthieu, Montrouge, Nouvelle Cité, 1995, p. 77. Page 15 : Charles de Foucauld, « L’esprit de Jésus », dans Œuvres spirituelles du père Charles de Foucauld, t. 8, Paris, Nouvelle Cité, 2005. Pages 18-19 : Charles de Foucauld, La dernière place, retraite à Nazareth, Paris, Nouvelle Cité, 2002, p. 65-66. Page 21 : Charles de Foucauld, Cette chère dernière place, Paris, éditions du Cerf, 2011, p. 185. Pages 24-25 : Charles de Foucauld, Commentaire de saint Matthieu, Montrouge, Nouvelle Cité, 1995, p. 194-195. Page 27 : « Lettre du 19 mai 1898 au Père Jérôme », dans Denise et Robert Barat, Charles de Foucauld et la fraternité, Paris, éditions du Seuil, 1958, 2002, p. 84. Page 31 : Charles de Foucauld, « L’esprit de Jésus », dans Œuvres spirituelles du père Charles de Foucauld, t. 8, Paris, Nouvelle Cité, 2005, p. 147. Page 33 : « Retraite à Nazareth », dans Denise et Robert Barrat, Charles de Foucauld et la fraternité, Paris, éditions du Seuil, 1958, 2002, p. 79. Pages 36-37 : Charles de Foucauld, L’Imitation du Bien-aimé, Paris, Nouvelle Cité, 1997, p. 118. Page 39 : Charles de Foucauld, Nouveaux écrits spirituels, Paris, Plon, 1950, p. 215-216. Pages 42-43 : Charles de Foucauld, L’Imitation du Bien-Aimé, Paris, Nouvelle Cité, 1997, p. 233. Page 45 : Charles de Foucauld, Œuvres spirituelles, Paris, éditions du Seuil, 1958, p. 603. Page 49 : Charles de Foucauld, Nouveaux écrits spirituels, Paris, Plon, 1950, p. 209. Page 51 : Charles de Foucauld, La Dernière place, Retraite à Nazareth, Paris, Nouvelle Cité, 2002, p. 149-150. Page 55 : Charles de Foucauld, L’Imitation du Bien-Aimé, Paris, Nouvelle Cité, 1997, p. 288. Page 57 : Charles de Foucauld, Œuvres spirituelles, Paris, éditions du Seuil, 1958, p. 206. Page 62 : Charles de Foucauld, Écrits spirituels, Paris, Gigord, 1939. Tables des hymnes Page 5 : Ce que vous avez fait à mes frères ; © Le Sénévé DDB ; texte et musique : A. Mayol ; X513. Page 11 : Adoramus te ; © éditions de l’Emmanuel ; texte et musique : éditions de l’Emmanuel ; EDIT15. Page 17 : Ta puissance est cachée, Seigneur ; © Sudio SM ; texte : CFC ; musique : J. Gelinneau ; X10-79-1. Page 23 : Avec toi, nous irons au désert ; © Mame ; texte : J. Servel ; musique : J. Gelineau ; GP229. Page 29 : En toi j’ai mis ma confiance ; © éditions de l’Emmanuel ; texte et musique : C.-E. Hauguel ; DEV132. Page 35 : Goûtez et voyez ; © éditions de l’Emmanuel ; texte et musique : communauté de l’Emmanuel ; D68-45. Page 41 : J’ai vu l’eau vive ; © Sodec ; texte : CFC ; musique : J. Berthier ; I132-1. Page 47 : Bénis le Seigneur, ô mon âme ; © éditions de l’Emmanuel ; texte et musique : E. Faugeron ; Z102-6. Page 53 : Ô maître doux et humble ; © Kinnor ; texte : CFC (sœur Marie-Pierre) ; musique : J.-C. Rosaz ; D57-63-2. 63 62

Légendes et crédits iconographiques Couverture, signet et page 2 : Père Charles de Foucauld. © akg-images Page 4 : Père Charles de Foucauld. © Abaca Press / Alamy. Page 10 : Père Charles de Foucauld. © Leonard de Selva / Bridgeman Images. Page 16 : Père Charles de Foucauld. © Paris, musée de l’Armée, Dist. RMN-GP / Pascal Segrette. Page 22 : L’Ermitage de Charles Foucauld construit en 1911, plateau de l’Assekrem, massif du Hoggar, Tamanrasset Province, Algérie. © akg-images / Bruno Barbier. Page 29 : Père Charles de Foucauld. © Abaca Press / Alamy. Page 34 : Intérieur de l’ermitage de Charles Foucauld construit en 1911, plateau de l’Assekrem, massif du Hoggar, Tamanrasset Province, Algérie. © akg-images / Bruno Barbier. Page 40 : Père Charles de Foucauld. © Bridgeman Images. Page 46 : Père Charles de Foucauld. © akg-images. Page 52 : Tombe du père Charles de Foucauld. El Menia, Wilaya de Ghardaïa, Algérie. © akg-imageàs / Bruno Barbier. Directeur de la rédaction : Pierre-Marie Varennes Directeur adjoint de la rédaction : Romain Lizé Rédacteur en chef et conception : David Gabillet Coordination éditoriale : Claire Stacino 1re rédactrice graphiste & mise en page : Solange Bosdevesy Iconographe : Isabelle Mascaras Relecture et correction : Pascaline Bourget Fabrication : Pierre Macqueron Magnificat est publié par Magnificat SAS au capital de 789230 €. Président, directeur de la publication : Vincent Montagne. Principal actionnaire : Média-Participations Paris au capital de 50494416 €. N° CPPAP : 0924 K 85377. N° ISSN : 1240-0971. Dépôt légal à parution. © AELF Paris, 2015, pour les textes liturgiques et les extraits de la Bible. © Magnificat SAS, 2022, pour lʼensemble de lʼouvrage. Tous droits réservés pour tous pays. Autorisation SECLI : 2021063 Achevé dʼimprimer en avril 2022 par Chirat en France. Rédaction : courrier@magnificat.fr 57, rue Gaston-Tessier – CS 50061 – 75019 Paris Cedex 19 Promotion : magnificat-promo@magnificat.fr Pour commander des exemplaires supplémentaires de cette neuvaine et la distribuer largement autour de vous, profitez de tarifs avantageux à partir de 10 exemplaires. – INFORMATIONS ET COMMANDES – www.magnificat.fr 02 99 55 10 20 64

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