Ponce Pilate, le gouverneur romain de Jérusalem, est très ennuyé. Les Juifs lui ont amené Jésus pour qu’il le condamne à mort. Mais le calme et la dignité du prisonnier l’ont impressionné et même un peu effrayé. Si cet homme était vraiment protégé par le Dieu des Juifs ? On n’a jamais intérêt à fâcher un dieu… En tout cas, une chose est sûre, cet accusé n’a rien fait de mal. Pilate croit soudain avoir une bonne idée. Il s’adresse à la foulemassée devant son palais : – La coutume veut que je libère un prisonnier pour la fête de la Pâque. Voulez-vous que je gracie Jésus ? – Non ! À mort ! Crucifiele ! hurle la foule déchaînée. Relâche plutôt Barabbas ! Pilate n’ose pas insister, même si ce Barabbas est un bandit. Il fait emmener Jésus par ses soldats, qui le fouettent et lui enfoncent une couronne d’épines sur la tête pour se moquer de lui : – Salut, roi des Juifs, disent-ils en lui crachant au visage. Puis ils l’emmenèrent pour qu’il soit crucifié. À la rencontre deTanious au Liban Vendredi 24mars MON EFFORTDU JOUR Aujourd’hui, je peux éaliser la ecee du Liban donnée par Tanious (p. 49) et essayer de ne pas manger plus que nécessaire. Je me contenterai i possible de epas très imples, oupe ou bol de iz. Je glisse une pièce dans ma tirelire. LE RÉCITDE LA PASSION Devant Ponce Pilate 48
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